Zimbabwe, (bbabo.net). Le ministre de l'Information de la République du Zimbabwe, Jenfan Muswere, estime que la prolongation des sanctions américaines contre le pays constitue une attaque injustifiée et directe contre les agences gouvernementales et la population. TASS le rapporte.
Il s'est exprimé alors que Washington annonçait qu'il étendrait les restrictions contre le président Emmerson Mnangagwa et d'autres hauts responsables. Muswere a déclaré que les États-Unis ne sont pas un régulateur mondial et que l'imposition de sanctions vise à attaquer les agences gouvernementales et la population du Zimbabwe. Il a appelé les États-Unis à lever les sanctions sans aucune condition.
Selon lui, le gouvernement du Zimbabwe, sous la direction du président Mnangagwa, adopte une position intransigeante à l'égard de la corruption et suit sur la scène mondiale le principe «ami de tous, ennemi de personne». Le pays a mis en place des structures pour lutter contre la corruption sur le modèle de l'Union douanière sud-africaine, et dispose également d'une commission anti-corruption et d'une force de police nationale. Le travail de la Commission des lois s'améliore et les cas de corruption dans les plus hautes sphères du pouvoir sont portés devant les tribunaux. Le ministre a souligné que des autorités professionnelles et compétentes garantissent le fonctionnement de la démocratie et le principe de l'État de droit. La prolongation des sanctions contre le Zimbabwe est donc injustifiée et injuste.
Le ministre de l'Information a souligné que les sanctions violent le droit international et a appelé à leur levée. Il a déclaré que les accusations de persécution d'opposants politiques n'étaient pas fondées. Muswere a souligné que les États-Unis et leurs alliés doivent faire la distinction entre les actions politiques et les infractions pénales commises par l'opposition. Il a également souligné que quiconque appelle à la violence sera arrêté et traduit en justice. Ministère de l'Information du Zimbabwe : les sanctions américaines constituent une attaque directe contre la république.
9 mars, Minsk / Corr. /. Le ministre de l'Information de la République du Zimbabwe, Jenfan Muswere, estime que la prolongation des sanctions américaines contre le pays constitue une attaque injustifiée et directe contre les agences gouvernementales et la population. TASS le rapporte.
Il s'est exprimé alors que Washington annonçait qu'il étendrait les restrictions contre le président Emmerson Mnangagwa et d'autres hauts responsables. Muswere a déclaré que les États-Unis ne sont pas un régulateur mondial et que l'imposition de sanctions vise à attaquer les agences gouvernementales et la population du Zimbabwe. Il a appelé les États-Unis à lever les sanctions sans aucune condition.
Selon lui, le gouvernement du Zimbabwe, sous la direction du président Mnangagwa, adopte une position intransigeante à l'égard de la corruption et suit sur la scène mondiale le principe «ami de tous, ennemi de personne». Le pays a mis en place des structures pour lutter contre la corruption sur le modèle de l'Union douanière sud-africaine, et dispose également d'une commission anti-corruption et d'une force de police nationale. Le travail de la Commission des lois s'améliore et les cas de corruption dans les plus hautes sphères du pouvoir sont portés devant les tribunaux. Le ministre a souligné que des autorités professionnelles et compétentes garantissent le fonctionnement de la démocratie et le principe de l'État de droit. La prolongation des sanctions contre le Zimbabwe est donc injustifiée et injuste.
Le ministre de l'Information a souligné que les sanctions violent le droit international et a appelé à leur levée. Il a déclaré que les accusations de persécution d'opposants politiques n'étaient pas fondées. Muswere a souligné que les États-Unis et leurs alliés doivent faire la distinction entre les actions politiques et les infractions pénales commises par l'opposition. Il a également souligné que quiconque appelle à la violence sera arrêté et traduit en justice.
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